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Une colonne de feu

Cahiers Attard Publié le 15 avril 2018 par Claude15 avril 2018

Troisième opus du cycle de Kingsbridge. Le lecteur retourne dans cette ville, au XVIe siècle. Contrairement aux deux premiers livres, la ville est sa cathédrale n’ont cette fois qu’un rôle secondaire. L’histoire se déroule essentiellement en Angleterre et en France, et il est beaucoup question de religion, à cette époque où beaucoup de choses changent dans ce domaine. Luther a lancé des idées, considérées hérétiques par le pape, qui aboutissent au protestantisme, et si celui-ci rencontre de nombreux adhérents, il suscite également une forte et violente opposition.

En Angleterre, l’avènement de la reine Élisabeth 1e permet au puritanisme protestant de l’Église anglicane de devenir majoritaire, cependant des ultras catholiques sont bien décidés à renverser ce régime par tous les moyens, incluant le meurtre. Toute l’Europe se ligue contre cette souveraine contestée, en particulier l’Espagne, alors puissance dominante. Marie, reine d’Écosse, rêve de prendre la place d’Élisabeth et ne reculera devant rien pour la faire chuter. En France, les protestants, surnommés huguenots, sont traqués et exécutés, toutefois leur culte se répand dans la clandestinité, au grand dam du duc de Guise, qui leur voue une haine sans faille.

Le décor est planté, reste la plume et le génie de Ken Follett pour créer et faire vivre des personnages autour d’une intrigue aux multiples ramifications. Ned Willard, protestant anglais, a 18 ans lorsqu’il revient à Kingsbridge après une année d’absence. Il compte bien épouser la jolie Margery Fitzgerald, bien qu’elle soit catholique, mais la famille de la jeune fille lui impose un mariage d’intérêt avec Bart, le vicomte de Shiring. Miné par le chagrin, Ned quitte la ville et devient un proche conseiller de la reine. Pendant ce temps, Rollo, le frère de Margery, sombre dans l’intégrisme catholique.

À Paris, le jeune Pierre Aumande est un arriviste dénué de tout scrupule qui rêve d’entrer dans l’entourage des Guise et d’être considéré par eux comme un égal. Pour parvenir à ses fins, il n’hésite pas à séduire la naïve Sylvie Palot, à qui la foi protestante donne la force de lutter contre les revers de l’existence.

La période va de 1558 à 1620. Le lecteur voit donc grandir, vieillir et mourir les nombreux personnages, au cours de rebondissements souvent inattendus ; des péripéties qui semblent sans rapport entre elles finissent par converger et petit à petit toutes les pièces se trouvent réunies pour le feu d’artifice. Le tout colle parfaitement à la réalité historique, puisque beaucoup de personnes ayant vraiment existé croisent les fictives au long de ces pages. On se retrouve rapidement pris par le récit, on rage contre les traîtres et les salauds, on s’attache à la charmante Margery, à la gentille Sylvie, au sympathique Ned, on a de la haine pour ce fumier de Pierre, et le sournois Rollo, on tremble lors des tentatives d’attentat ou de libération, on frémit d’horreur à la saint Barthélémy ou pendant l’attaque de l’Invincible Armada espagnole, on pleure quand certains protagonistes disparaissent. Le rythme est sans temps mort, le style parfait, le suspense savamment entretenu, les intrigues (politiques, amoureuses, familiales…) élaborées de main de maître.

L’histoire des Piliers de la Terre se passait au XIIe siècle, celle d’Un monde sans fin au XIVe, celle-ci au XVIe. Si l’auteur poursuivait sur cet élan et nous proposait dans le futur de retourner à Kingsbridge au XVIIIe, puis au XXe siècle, je répondrais sans la moindre hésitation à l’invite !

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Publié dans Ken Follett | Une réponse

Madame Pylinska et le secret de Chopin

Cahiers Attard Publié le 11 avril 2018 par Claude15 avril 2018

Les habitués de mes Cahiers savent que j’apprécie énormément Éric-Emmanuel Schmitt, en particulier le Cycle de l’invisible et ses six petits livres (dont Oscar et la dame rose, que j’ai vu à trois reprises au théâtre et que j’ai lu je ne sais combien de fois). Ce cycle aborde comme son nom l’indique ce qui ne se voit pas, mais qui est le plus important, comme les croyances, l’apprentissage de la vie et l’aide à autrui.

Et voilà qu’un septième volet est publié !

Avec malice, l’auteur se met en scène lui-même, narrant ce qui est arrivé à l’enfant qu’il a été, puis au jeune homme qui a suivi. Il s’agit bien entendu de fiction.

Le petit Éric-Emmanuel découvre grâce à sa tante Aimée la beauté du piano et décide d’apprendre à jouer de cet instrument. Quelques années plus tard, réalisant qu’il ne peut plus progresser sans être accompagné par un professeur qualifié, il s’adresse à madame Pylinska.

Celle-ci est une femme très originale, et ses méthodes d’enseignement le sont davantage encore. Par exemple, elle lui demande, pour se perfectionner, de se coucher sous le piano et de l’écouter avec sa peau, d’observer les mouvements des feuilles d’arbre, ainsi que les ronds dans l’eau. Surtout, elle place Frédéric Chopin, qui n’a écrit que pour le piano, au-dessus tous les autres compositeurs. Pourquoi ? Quel était son secret ? Le jeune Éric-Emmanuel le découvrira-t-il ?

Schmitt met tout son cœur et son style si fluide au service d’une histoire toute simple, très courte (une centaine de pages), très drôle, et délicieuse, à savourer comme un bonbon rare.

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Publié dans Éric-Emmanuel Schmitt | 2 Réponses

Couleurs de l’incendie

Cahiers Attard Publié le 30 mars 2018 par Claude30 mars 2018

Dans la littérature française, le personnage qui incarne le plus la vengeance implacable est incontestablement Edmond Dantès, le célèbre héros du Comte de Monte-Cristo. Je propose de remplacer ce modèle déjà ancien par Madeleine Péricourt, rencontrée dans un autre roman de Pierre Lemaître, Au revoir là-haut, prix Goncourt 2013 et néanmoins excellent bouquin. L’auteur ne cache d’ailleurs nullement son admiration pour Alexandre Dumas.

Nous retrouvons donc quelques personnages qui n’étaient que des figurants dans la première œuvre.

Nous sommes dans l’entre-deux-guerres. Marcel Péricourt, riche fondateur de la banque du même nom, vient de trépasser. Lors des obsèques, un drame éclate : Paul, son petit-fils de sept ans, tombe d’une fenêtre du second étage, se blesse grièvement et en reste définitivement infirme. Comment est-ce arrivé ?

D’autre part se pose la question de la succession. Édouard, le fils, est mort. Madeleine est une femme, donc considérée incapable de prendre la suite.

C’est elle pourtant qui est l’héritière. Elle attire les hommes non seulement parce qu’elle est à (re)marier (voir le premier tome), mais aussi parce qu’elle possède une fortune conséquente. Elle attire également les profiteurs et les malhonnêtes n’étant, c’est vrai, pas du tout formée aux problèmes de la finance, et de plus préoccupée par l’avenir de son fils handicapé.

Victime d’une coalition d’intrigants qui manœuvrent pour la faire chuter, elle se retrouve ruinée.

Commence alors la vengeance.

Petit à petit, utilisant le peu qui lui reste, c’est-à-dire un peu de fric, pas mal de charme et beaucoup d’intelligence, elle va faire en sorte que ceux qui l’ont fait tomber tombent à leur tour, encore plus bas.

En toile de fond : l’étrange relation de Paul avec une cantatrice, la montée du nazisme, une nounou pas comme les autres, un regard sans concessions sur le journalisme…

L’intrigue est découpée sur mesure, chaque détail a son importance. Le rythme s’accélère parfois de façon spectaculaire, puis reprend une vitesse de croisière, il y a de l’humour, de bonnes réflexions, une découverte des mœurs de cette époque où les femmes ne pouvaient même pas ouvrir un compte en banque et encore moins voter.

Le lecteur ne s’ennuie pas une seconde, c’est un régal. Et l’auteur a promis une troisième partie.

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Publié dans Pierre Lemaître | 4 Réponses

Tremblements

Cahiers Attard Publié le 12 mars 2018 par Claude28 mars 2018

(cliquer sur l’image)

Un accident, une tragédie, peuvent avoir des conséquences positives tout au long d’une vie. Mais un minuscule malentendu peut tout détruire en quelques minutes.

Pour ceux qui préfèrent : téléchargement de la version PDF.

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Publié dans Texte | Laisser une réponse

La création est une fête

Cahiers Attard Publié le 10 février 2018 par Claude10 février 2018

Il y a quelques jours, en rentrant du boulot, je me suis assis devant mon ordinateur pour écrire la minifiction de la semaine. J’hésitais entre trois idées. Une comique, qui mène le lecteur en bateau, révélant à la dernière phrase qu’il s’agissait de tout autre chose que ce qu’il avait cru ; une poétique, catégorie rêveuse, narrée à la première personne, qui incite à se poser des questions ; une autre…

Je me suis arrêté en pleine réflexion. J’ai cherché partout, elles n’étaient plus là. Je les avais perdues.

Impossible de retrouver l’excitation, la gaieté, la griserie qui étaient miennes il n’y a pas si longtemps. Le feu m’a quitté, une page est tournée.

La création ne doit pas être une contrainte, une obligation ou une tension. La création doit être un plaisir, elle doit être une fête.

J’ai toujours des idées à la pelle, j’ai toujours envie de tricoter des intrigues, de trouver le bon rythme, le mot exact, l’expression précise, j’ai toujours le désir d’améliorer mon style chaque fois, mais plus de cette façon.

Les minifictions, j’arrête.

J’arrête sous la forme d’une histoire de 1000 à 1200 mots chaque semaine.

J’arrête avant que ça devienne un stress, j’arrête avant que ce soit une routine, avant de me sentir fonctionnaire de la minifiction, chargé d’en produire une pour chaque samedi matin, comme si j’avais un quota à tenir.

J’arrête tant que je m’éclate, avant que je me lasse et que ce soit une corvée emmerdante.

J’ai écrit 256 minifictions ! C’est un joli nombre. Les passionnés d’informatique le savent, c’est 28, le nombre de valeurs que peut prendre un octet. Si l’on m’avait dit, lorsque j’ai posté la première fin 2012, qu’il y en aurait autant, presque sans interruption, je ne l’aurais certainement pas cru, ou j’aurais renoncé, parce que c’est long, cinq années avec ce rythme, et que j’aurais eu la trouille. Ç’aurait été vraiment dommage, car j’ai tant appris, en les écrivant !

Je vais continuer à écrire, bien sûr, c’est plus fort que moi. Je ne pourrais pas me passer d’inventer des histoires, je l’ai toujours fait, et je le fais tout le temps. Je regarde aux alentours, je vois, par exemple, une femme qui traverse une rue avec une écharpe autour du cou, et dans ma tête une petite voix raconte : « L’écharpe hâtivement nouée sur son col trop échancré pour ce matin frileux, elle traverse la rue en courant, songeant au rendez-vous qu’elle ne peut se permettre de louper… » Je fais ça du matin au soir, pour tout ce que je vois ou entends. Certains ont la manie du rangement, d’autres parlent tout seuls… moi, j’observe, et je relate ce que j’ai vu en faisant comme dans un livre.

D’ailleurs, en ce moment même, pour expliquer que je vais arrêter, je suis encore en train de raconter comme si c’était une histoire. Je ne peux pas m’en empêcher !

Je vais écrire des nouvelles différentes, plus longues, qui me permettront de donner plus d’ampleur au thème, plus d’espace à l’intrigue, plus de consistance aux personnages. Je prendrai mon temps, et je m’éclaterai, j’espère, afin que toi, lectrice ou lecteur, tu t’éclates aussi en me lisant.

La date approche où je vais pouvoir cesser de travailler. J’aurais enfin du temps pour réaliser quelques-uns des nombreux projets que je garde en attente depuis des années, entre autres celui d’écrire des romans. Il y en a un en particulier qui fait les cent pas dans la tête depuis un bon moment, dans lequel je peine à m’immerger vraiment tant que je ne suis pas libéré des obligations professionnelles.

Il y a tant de choses à écrire, tant de projets auxquels je voudrais me consacrer !

Chère lectrice, cher lecteur, ce n’est pas un adieu, rassure-toi. J’espère tout de même qu’elles te manqueront, mes minifictions !

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Publié dans Divers,Minifictions | 22 Réponses

Minifiction #256

Cahiers Attard Publié le 3 février 2018 par Claude3 février 2018

Miraculeuse hospitalisation


Minifiction “octet”, les geeks comprendront. :) Avec une visite du père Francis dans le sud-ouest de la France.

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Publié dans Minifictions | Laisser une réponse

Minifiction #255

Cahiers Attard Publié le 27 janvier 2018 par Claude27 janvier 2018

Le secret du bonheur


Tout le monde voudrait connaître le secret du bonheur. Certains l’auraient trouvé, mais est-il transmissible aux autres ?

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Publié dans Minifictions | Laisser une réponse

Un dissident

Cahiers Attard Publié le 21 janvier 2018 par Claude2 février 2018

Le message de ce bouquin (car il y a un message) est parfaitement clair : il est important d’être complètement humain avant de songer à devenir surhumain. Dit autrement, à notre époque de « réalité augmentée » et même « d’homme augmenté », où bien des hommes se rêvent en surhommes, il faut regarder la vérité en face, nous ne sommes pas prêts, n’étant pas encore totalement des hommes.

Le grand humoriste Pierre Dac avait sans doute déjà remarqué en son temps que quelque chose n’allait pas, puisqu’il avait alors déclaré que le chaînon manquant entre le singe et l’homme, c’est nous.

François-Régis De Guenyveau nous fait suivre l’existence de Christian. Lorsque nous faisons sa connaissance, c’est un garçon de huit ans pas tout à fait comme les autres, puisqu’il est d’une intelligence très supérieure à la moyenne. Bien sûr, cette différence l’isole un peu des gamins de son âge, cependant il est bien entouré par sa famille. En grandissant, il se met à rêver de quitter le village provençal où il a vécu depuis sa naissance pour s’épanouir dans l’avenir grandiose vers lequel il tend.

Encore adolescent, Christian remporte un concours de connaissances scientifiques de très haut niveau et il peut enfin s’envoler vers le futur qu’il espère depuis des années, aidé par son parrain, entrepreneur dans les technologies de pointe. Le désir le plus cher de Christian est de créer des appareils toujours plus puissants et plus évolués qui décupleront les capacités de l’homme afin d’en faire ce fameux surhomme. Jusqu’où sera-t-il possible d’aller ?

Devenu adulte, littéralement obsédé par les recherches dans lesquelles il s’est lancé, il se retrouve de plus en plus en décalage avec ses semblables. Heureusement, il prend conscience de cette situation, des choses à côté desquelles il passe, du bonheur qu’il ne parvient pas à saisir…

Long conte moral assez sombre, ce livre incite le lecteur à la réflexion, ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire. Il s’agit d’un premier roman, et les puristes ou les chipoteurs n’hésiteront pas à dresser la liste de ses défauts. C’est vrai qu’il y a quelques longueurs, par exemple. Toutefois, l’originalité (et l’actualité) du sujet et la chute qui prend totalement au dépourvu relèguent très loin ces menues erreurs de jeunesse.

François-Régis, je pense que vous passerez tôt ou tard par cette page. Je garde un excellent souvenir de notre échange, et j’attends votre second bouquin avec impatience.

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Publié dans François-Régis De Guenyveau | Laisser une réponse

Minifiction #254

Cahiers Attard Publié le 20 janvier 2018 par Claude20 janvier 2018

Infiltration


Infiltrer, c’est introduire un élément étranger dans un milieu, et mélanger. Je crois que je sais comment éliminer le terrorisme…

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Publié dans Minifictions | 2 Réponses

Minifiction #253

Cahiers Attard Publié le 13 janvier 2018 par Claude13 janvier 2018

Fin du monde


La fin du monde est un sujet qui revient régulièrement dans les peurs des hommes. Elle peut être vue comme le bout du monde.

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Publié dans Minifictions | 2 Réponses

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Impose ta chance, serre ton bonheur, va vers ton risque. À te regarder, ils s’habitueront. (René Char)

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